« Touche pas à ma retraite, ne change rien à mon assurance-maladie (la meilleure du monde !...), ne limite en rien les moyens de l’Education Nationale ». On a beau évoquer les difficultés budgétaires, les changements sociétaux introduits chez la plupart de nos principaux partenaires, la chanson ne varie guère.
Enumérer la liste des pôles de résistance ne sert à rien. Tout se passe « en amont ». C’est la « culture » française qui se trouve défiée de l’extérieur, et qui, ancrée dans les esprits, refuse de « muter » (cf édito). Le plus probable est ...